mercedesdembo

TES MAINS, TUS MANOS

Ce sont tes mains si douces,

qui me caressent en douce,

de bon matin.

c'est comme ça que tu me réveilles chaque matin

avec une caresse de ta main,

qui lentement me sort de mon sommeil.

Tes mains chaudes se promènent sur moi,

effleurant légèrement l'auréole de mes seins dans un vol.

Quel émoi, quand ta langue charnue,

se pose sur ma peau nue.  

je frémis de plaisir et brûle de désir.

Tu grignotes mon sein,

lèches l'auréole qui se durcit d'envie

et prend tout le sein gonflé de suc dans ta bouche vorace.

Je tremble, je gémis,

nous començons une danse harmonieuse, lente.

Nos corps se balancent en cadence

dans un va -et -vient langoureux.

Ta main parcourt mon pubis rasé

en forme de ton coeur,

 qui frémit sous tes doigts experts,

et en petits ronds,tu descends et sépares,
 

habilement les plis qui protègent mon domaine secret.

Tu connais bien l'entrée,

tu es le seul a l'avoir pénètré.

C'est bien humide la dedans,

comme dans une forêt tropicale.

Tes mains mouillées et visqueuses,

creusent, creusent.

Je vais exploser,

je suis arrivée à la limite de mes forces,

à l'apogée de mon plaisir.

Tu as ouvert ma rivière

et elle se déverse avec furie,

tu bois avidement, ce jus énivrant.


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Son tus manos tan suaves,

que me acarician en silencio,

al amanecer.

Así es como  me despiertas todas las mañanas,

con una caricia de tu mano

que poco a poco me saca de mi sueño.

Tus manos cálidas me recorren,  

cepillan suavemente la aureola de mis pechos en un vuelo.

Qué emoción cuando tu lengua carnosa,

se posa en mi piel desnuda,

me estremezco de placer y deseo ardiente.

 Mordisqueas mi seno,

lames la aureala  que se endurece de envidia

y tomas
en tu boca voraz  el seno hinchado de jugo.

Tiemblo, gimio,

empezamos una danza armoniosa, lenta.

nuestros cuerpos se mecen en cadencia

en un vaiv
é
n lánguido.

Tu mano experta recorre

mi pubis rasurado en forma de tu corazon

y la roda entre sus dedos expertos

  dibujando pequeños c
írculos, bajas y separas,

hábilmente los pliegues que protegen mi zona secreta.

Ya conoces bien la entrada

eres el único que la penetro.

Es muy húmedo all
í,

como en una selva tropical.

Tus manos están húmedas y viscosas

cavan, cavan.

Voy a explotar,

Llegué al límite de mis fuerzas,

a la cumbre del placer.

Abriste el río y los flujos se derraman furia,

bebes con avidez, este jugo embriagador.


 

Merche DemBar


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